🪙 Pourquoi les Français ont honte de parler d’argent (et comment ça les empêche de s’en sortir)
- Concilys

- 12 nov.
- 2 min de lecture
Le grand tabou moderne : parler d’argent
On peut parler de tout aujourd’hui. De santé mentale, de couple, de parentalité, même d’échec professionnel.Mais l’argent… non. En France, parler d’argent reste l’un des derniers tabous.Qu’on en manque ou qu’on en ait trop, c’est toujours gênant.Et cette gêne, souvent culturelle, a un impact bien plus concret qu’on ne le pense : elle empêche beaucoup de personnes d’avancer, de demander de l’aide — et parfois même de sortir d’une situation difficile.
“Ce n’est pas un sujet dont on parle à table”
Dès l’enfance, on nous apprend que l’argent est un sujet “sale” ou “personnel”.Résultat : on grandit avec la conviction qu’en parler, c’est manquer de pudeur.Beaucoup de Français préfèrent cacher leurs difficultés, quitte à s’isoler, plutôt que de demander conseil.
Cette honte est particulièrement forte chez les personnes en situation d’endettement ou inscrites au FICP.Elles se sentent coupables, responsables, alors qu’en réalité, la plupart des incidents de paiement sont liés à des accidents de vie : une séparation, une perte d’emploi, un problème de santé, une mauvaise surprise budgétaire.
La solitude financière : un cercle vicieux
Ne pas oser parler d’argent, c’est aussi retarder la recherche de solutions.On attend, on espère, on évite d’en parler — et la situation s’aggrave.Plus le temps passe, plus la peur du jugement s’installe.Et pourtant, le premier pas vers la sortie, c’est le dialogue.
Chez Concilys, nous le voyons tous les jours :➡️ Une personne qui ose franchir le pas, c’est souvent une personne déjà en train de se reconstruire.➡️ En parler, c’est reprendre le contrôle sur sa situation.➡️ C’est redonner du sens à une démarche : “Je ne suis pas seul(e), je peux m’en sortir.”
Apprendre à reparler d’argent, sans honte
Réapprendre à parler d’argent, ce n’est pas seulement une question financière.C’est aussi un travail de réconciliation personnelle.Voici quelques conseils simples :
Parler à une personne de confiance. Un proche, un conseiller, un professionnel bienveillant.
Ne pas se juger soi-même. Les dettes ne définissent pas une personne.
Se documenter. Comprendre le fonctionnement du FICP, du rachat de crédits, des aides disponibles.
Faire un plan d’action concret. Même petit. L’important, c’est d’avancer.
Le rôle de Concilys : écouter, accompagner, réhabiliter
Chez Concilys, nous croyons profondément que la bienveillance est le premier levier du redressement financier.Nous accueillons chaque personne sans jugement, avec l’objectif unique de trouver une solution durable à sa situation.
Notre mission ne s’arrête pas à l’analyse d’un dossier : Nous aidons les personnes à reprendre confiance.À parler à nouveau d’argent, sans peur.Et à envisager un avenir où la stabilité financière n’est plus un rêve, mais un projet concret.
En conclusion
L’argent ne devrait jamais être une source de honte.En parler, c’est s’en libérer.Et quand la parole s’ouvre, les solutions suivent.
Chez Concilys, nous sommes convaincus d’une chose :
💬 “La bienveillance est plus forte que le fichage.”




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